Un peu de tout et de n'importe quoi.
Démarrage difficile, mais pour ne plus arrêter jusqu'au soir. Premier problème : j'ai laissé tout mon linge à la base et du coup, je n'ai plus rien à me mettre. Et ce n'est pas avec un pantalon beige tout propre que je vais passer la journée ! J'ai sortie mon vieux pantalon bordeaux, troué de quand j'avais 15 ans que j'ai pris avec moi pour modèle. Le pire, c'est que je rentre dedans sans problème ! Enfin, ça, c'est peut-être une bonne chose.
A pattes, sous le soleil et sans lunettes, je me suis rendue au bureau pour prendre la Suzuki verte du Père S.. Son état (de la voiture, pas du Père S.) : pire que ma poubelle roulante que je commence à apprécier finalement. Direction le CAK où je retrouve A. mon collègue, L. la stagiaire Française d'il y a 1 mois. A trois, on va faire du shopping au marché. J'étais partie pour des T-shirt et je suis revenue avec des foulards... comme d'hab quoi. De retour au CAK, on se refroidit à l'ombre tout en parlant avec A. le chauffeur Camerounais. Vers 15h, assoiffés et affamés, on est allés au resto Sénégalais. A 1,5 – 2 euros le plat du jour, on ne se laisse pas prier ! Puis nos chemins se séparent. Moi, c'est direction la base pour un barbotage en bonne et due forme dans la piscine et récupérer mon linge.